Au sein du conseil municipal de la Ville de Plaisir, nous formons une équipe de 6 conseillers municipaux, tous plaisirois, de quartiers divers, engagés et investis dans la vie communale au service des habitants.


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par Sandrine Carneiro 18 avr., 2024
Lors du conseil municipal du mercredi 20 mars dernier, le vote sur le budget 2024 de Plaisir a été une nouvelle fois l'occasion de révéler la politique clairement définie de notre Maire. Cette politique se traduit par la dégradation des services publics de notre ville, caractérisée notamment par la fermeture de 5 écoles, la réduction des subventions aux associations, ou encore la suppression de postes d'agents communaux. Tout cela semble être sacrifié au profit de la réalisation de projets dispendieux décidés sous la seule autorité du Maire, visant à inscrire le nom de Mme Kollmannsberger dans l'histoire de la commune, quoi qu’il en coûte. La lecture attentive de ce budget met également en lumière un contraste flagrant entre les propos tenus par notre Maire, notamment concernant la baisse des dotations, le désengagement de l'État, et la véritable situation financière de la ville. En réalité, les chiffres démontrent que les comptes de la commune se portent très bien comme en témoigne l’excédent de fonctionnement de 8.5 millions d’euros sur 2023 reportés sur 2024, ou encore la capacité de la maire à allouer près de 10 millions d'euros au seul projet du château. Cette situation souligne une fois de plus le caractère injustifié de l'augmentation de la taxe foncière de +27% en 2023. Il est maintenant évident que cette mesure était largement disproportionnée par rapport aux besoins financiers réels de la municipalité. Aujourd’hui, une question légitime se pose : jusqu’où les plaisirois sont-ils prêts à porter financièrement les ambitions sans limites de notre Maire ? Nous avons voté contre ce budget 2024.
par Sandrine Carneiro 13 avr., 2024
Cambriolages, agressions, vols, atteintes aux biens… Le mois dernier, le journal Le Parisien a publié un classement des villes des Yvelines en matière de sécurité qui met en lumière une réalité préoccupante. Le verdict est sans appel : parmi les 22 grandes villes des Yvelines dépassant les 20 000 habitants, Plaisir se retrouve dernière de sa classe , signe indiscutable de son échec en matière de sécurité publique. En effet, les chiffres de Plaisir en matière de délinquance enregistrés par les services de police sont en constante évolution depuis 2021. Les forces de police de Plaisir ont enregistré 1 558 crimes et délits en 2023 contre 1 404 en 2022, soit une hausse de 11 % en un an . Le détail des chiffres par catégorie entre 2022 et 2023 est encore plus alarmant : - Cambriolages de logement : en hausse de + 77,08 % - Trafic de stupéfiants : en hausse de + 33,33 % - Vols violents sans arme : en hausse de + 22,73 % De plus, la décision de notre Maire de fusionner la police municipale avec celle des Clayes sous-Bois , sans accroître le nombre d'agents, a placé nos policiers dans une situation délicate. Cette mesure, apparemment plus motivée par des considérations financières, notamment par la création d'un taux de taxe foncière supplémentaire en 2023, plutôt que par le renforcement de la sécurité , a conduit à une distribution moins efficace de nos ressources policières. Avec seulement un policier municipal pour 2 113 habitants, Plaisir est l'une des villes les moins bien pourvues en agents de police municipale dans les Yvelines. Ces chiffres alarmants, dévoilés par le classement du journal Le Parisien, soulignent l'urgence d'agir rapidement pour inverser cette tendance et réinstaurer un sentiment de sécurité dans notre ville. Face à ces défis, il est impératif que la municipalité adopte des mesures rapides et efficaces afin de garantir un environnement sûr et paisible pour les plaisirois. Pour plus d'informations : - Article du journal Le Parisien - "Classement des villes les plus sûres d'Ile de France" - 18 mars 2024 - SECURITÉ : chiffres clés de la ville de Plaisir
par Sandrine Carneiro 10 avr., 2024
Selon un récent article paru dans 78actu le 4 avril dernier, la ville de Plaisir se retrouve en bas du classement des villes les plus mal gérées dans les Yvelines. Cette évaluation met en exergue la gestion de notre Maire, Joséphine Kollmannsberger, qui est à la tête de la municipalité depuis maintenant 12 ans. Cette notation ne peut qu’interroger sur la qualité de la gestion municipale qui a un impact direct sur la vie quotidienne des plaisirois, sur l'attractivité de la ville et sur son dynamisme économique et social. Chaque jour, nous sommes témoins de la dégradation progressive de la qualité de vie dans notre ville. Cette détérioration se manifeste à travers plusieurs aspects : la fermeture des écoles, l’entretien des voiries, la politique d’urbanisation galopante et anarchique, la qualité des services municipaux, la gestion des espaces verts, le manque de médecins, ou encore la sécurité. Nous sommes en droit d’attendre du Maire une gestion municipale à la hauteur de nos attentes, une gestion qui place le bien-être des plaisirois et le développement durable de la ville au cœur de ses priorités. Retrouvez l'article de 78actu du 4 avril 2024 : https://actu.fr/societe/vivez-vous-dans-la-ville-la-plus-mal-geree-des-yvelines-largus-des-communes-vous-repond_60906067.html
par Sandrine Carneiro 07 avr., 2024
Ce mercredi 3 avril 2024, au titre de notre fonction de conseillers municipaux d’opposition de Plaisir, nous avons eu le privilège d’être invités à participer à une réunion de l ’Assemblée Citoyenne Plaisiroise . Nous remercions ses membres pour cette invitation. Véritable incubateur d'idées qui s'appuie sur le vécu quotidien des plaisirois , l’ACP a pour objectif principal de favoriser les échanges entre les représentants élus, les services municipaux et les habitants. Néanmoins, cette réunion, initialement destinée à questionner les élus sur le fonctionnement de l’ACP, a mis en lumière une toute autre réalité marquée par un manque de communication concernant les actions entreprises par l'ACP. En effet, après plus de 3 années d’exercice, nous avons été positivement surpris de découvrir le travail significatif accompli par ses membres sur de nombreuses thématiques telles que la sécurité, les mobilités ou l’accessibilité PMR. Par ailleurs, nous avons également été frappés d’apprendre que les élus de la majorité eux-mêmes n’avaient que peu d’informations sur le fonctionnement et le travail accomplis par l’ACP. Face à cette absence d’information sur leur action, nous avons alors suggéré à certains membres de l’ACP de demander à la municipalité un encart récurrent dans l’Essentiel afin de valoriser leurs actions. Nous avons été surpris d’apprendre que cette demande avait déjà été faite à plusieurs reprises et que Mme Le Maire n’y avait pas répondu favorablement. Certains d'entre eux ont d’ailleurs exprimé leur regret de ne pas être cités comme les initiateurs de ces projets dans les rares articles de presse municipale qui leur sont consacrés. Il semble en effet que le travail de cette assemblée serve principalement de vivier d'idées pour le Maire, qui s'approprie les projets élaborés par ses membres. La stratégie de communication de la ville vise à mettre en avant la figure du Maire comme seule source d'inspiration, au détriment des véritables acteurs de notre collectivité. D’autre part, certains participants ont regretté le manque de retour et de réactivité de la municipalité sur certains sujets . A titre d’exemple, certains membres ont évoqué le fait d’avoir transmis un rapport sur les mobilités il y a plus d’un an à l'adjoint au Maire délégué à la transition écologique, et qu’à ce jour, il n’ait fait aucun retour à l’ACP. Cette absence de communication, de valorisation et de suivi des actions menées par l’ACP de la part du Maire , qui choisit les projets qu'elle portera pour en retirer les lauriers et d'écarter ceux qu'elle ne veut pas porter, interroge et semble être à l’origine d’un vaste mouvement de retrait des membres de l'Assemblée : sur les 57 membres permanents, seuls une dizaine de plaisirois restent désormais engagés. Enfin, malgré les déclarations du Maire, nous constatons l'emprise indéniable du cabinet du Maire sur l'organisation de cette assemblée citoyenne . Pour exemple, le mail de contact de l’ACP n’est autre que « plaisir à votre écoute » géré par le cabinet du Maire. Pourtant, Mme Kollmansberger s'était engagée en début de mandat à garantir l'indépendance et la neutralité de cette assemblée citoyenne. Le bilan de cette réunion est contrasté. Si nous avons constaté un engagement continu de certains Plaisirois pour la transformation de notre ville, il est regrettable que depuis plus de 3 ans, Mme le Maire refuse la transparence et le travail collaboratif, et ne semble pas être une défenseure de la démocratie participative. Malgré tout, nous encourageons vivement tous les Plaisirois engagés dans cette assemblée à poursuivre leur travail de qualité et à rester vigilants face à la récupération de leurs idées par les élus de la majorité. Nous encourageons également les plaisirois à rejoindre l’ACP ou à la saisir pour tout sujet d’intérêt collectif. Retrouvez l’actualité de l’Assemblée citoyenne de Plaisir : - Site internet : www.assembleecitoyenne-plaisir@ville-plaisir.fr - Page facebook : www.facebook.com/AssembleeCitoyennePlaisir
par Sandrine Carneiro 29 mars, 2024
En France, la question de l'écologie est désormais omniprésente et transcende les clivages politiques, avec une attente citoyenne envers les dirigeants pour agir avec responsabilité et sensibilité écologique afin de protéger notre planète. Toutefois, une tendance préoccupante se profile : il s’agit de la technique marketing du « greenwashing » qui consiste à adopter une façade écologique trompeuse plutôt que des actions véritablement bénéfiques pour l'environnement. A Plaisir, après la construction d'un méga centre commercial qui attire des dizaines de milliers de véhicules polluants dans notre ville, la coupe de plusieurs centaines d'arbres en ville, et la transformation des espaces naturels en zones bétonnées, le Maire ne parviendra pas à nous convaincre de sa conscience écologique avec la distribution d’un simple sachet de graines. Cette attitude électoraliste teintée d'hypocrisie soulève des questions légitimes. Cette élue qui s'est autoproclamée femme inspirante dans le dernier Essentiel devrait adopter une approche plus humble et inspirée dans ses communications. Que peut-on attendre d'un maire qui lance sa campagne 2 ans avant la fin de son mandat, utilisant les artifices du "greenwashing" pour se présenter comme un défenseur de la nature ? Ce cynisme palpable est illustré par la tentative de réduire au silence toute opposition, même au prix de manipulations éditoriales. Un cynisme que vous pourrez lire dans la tribune de la majorité voisine à la nôtre, qui désormais anticipe la publication de notre texte dans le journal de la Ville pour y répondre, allant même jusqu'à réduire la taille de police de notre tribune afin de la rendre illisible... Il semblerait que la majorité n'apprécie guère la contradiction.
par Sandrine Carneiro 12 mars, 2024
Selon un article paru dans la Gazette SQY le 5 mars dernier, l a ville de Plaisir lance une consultation auprès des habitants sur les projets d'installation et de modification d'antennes de téléphonie mobile envisagés par divers opérateurs dans la région. Ainsi la société Orange prévoit la modification d’une antenne de radiotéléphonie mobile située 70, rue Henri Barbusse, près du magasin Decathlon. La consultation est ouverte jusqu’au 19 mars. De même, la société SFR prévoit l’installation d’une antenne de radiotéléphonie mobile située 2, rue du Vieux Moulin. Il s’agit d’un immeuble d’habitation situé résidence du Vieux Moulin, dans le quartier de la gare. Les habitants peuvent donner leur avis jusqu’au 22 mars 2024. A l’heure actuelle, l a ville de Plaisir compte 32 antennes relais installées sur l’ensemble du territoire : ce sont 6 antennes relais de plus qu’en 2020 , soit une augmentation de près de 23%. En novembre 2020, nous avions interrogé Mme le Maire en conseil municipal sur la proximité de certaines de ces antennes avec les écoles Plaisiroises. En effet, malgré l’avis de l ’ANFR qui préconise que les antennes relais ne soient pas installées à moins de 100 m d’une école , nous avons identifié 3 groupes scolaires situés à des distances inférieures à cette recommandation : - les écoles Marcel Jeantet et Lafontaine dans le quartier des Ebisoires : 41m - les écoles Wallon et Vallès dans le quartier des Gâtines : 74m - l’école Brossolette dans le quartier du Valibout : 98 m Nous avons partagé notre inquiétude avec le Maire, et nous lui avons proposé d’établir des périmètres de protection autour des écoles via le Plan Local d'Urbanisme (PLU) . Cependant, nous regrettons que ces propositions aient été rejetées par le Maire sans consultation préalable et sans aucune justification. Bien que l'accès à internet et aux réseaux mobiles soit devenu indispensable de nos jours, nous estimons que certaines mesures de protection et de prévention doivent être prises par notre municipalité pour limiter la prolifération des antennes relais sur nos territoires et ainsi protéger nos enfants des ondes de téléphonie mobile. Les dossiers d’information au sujet de ces 2 projets peuvent être consultés en mairie de Plaisir, direction de l’aménagement et de l’urbanisme. Un registre est également mis à votre disposition, permettant de recueillir vos observations. L’accueil à la direction de l’aménagement et de l’urbanisme se fait uniquement sur rendez-vous.
par Sandrine Carneiro 08 mars, 2024
Chaque année, le 8 mars, nous commémorons la Journée internationale des droits des femmes, une occasion significative pour saluer les accomplissements des femmes à travers l'histoire, pour mettre en lumière les avancées vers l'égalité des sexes et pour reconnaître les luttes continues en ce sens. La promotion de l'égalité des sexes ne devrait pas se limiter à des discours et des déclarations d'une journée. Cela nécessite des politiques et des actions tangibles favorisant l'égalité des chances, l'accès équitable aux ressources et aux opportunités, ainsi que la valorisation du travail des femmes dans tous les domaines de la société. Nous devons exiger des engagements concrets de nos dirigeants politiques en faveur de l'égalité des sexes, notamment par la mise en œuvre de lois et de politiques visant à éliminer les discriminations, à garantir l'accès des femmes à l'éducation, à la santé et à l'emploi, et à lutter contre les violences sexistes. Cela exige un changement culturel profond, où les femmes et les hommes sont équitablement valorisés et bénéficient du même respect et des mêmes droits. En cette Journée internationale des droits des femmes, appelons à plus qu'une simple reconnaissance symbolique. Engageons-nous à collaborer pour créer un monde où l'égalité des sexes est une réalité quotidienne pour tous. Devenons des agents de ce changement, défendons l'égalité des sexes et combattons toutes les formes de discrimination et d'injustice. C'est ensemble que nous pouvons bâtir un avenir plus juste et équitable pour tous.
par Sandrine Carneiro 03 févr., 2024
En proposant à toute l’équipe municipale une mission d’information sur la fermeture des écoles lors du dernier conseil municipal, nous portions un de nos engagements de campagne : celui d’ouvrir le débat à une réelle participation citoyenne quand il s’agit de décisions fondamentales pour notre ville. Existe-t-il un sujet plus important que l’avenir de nos enfants ? La réponse est évidente et c’est pourquoi nous proposions de rassembler tous les acteurs autour de la table pour définir des solutions et les appliquer avec l’accord des parties prenantes. Résoudre les problèmes du quotidien et avoir une vision d’avenir forment pour nous, les deux piliers qui doivent réunir les élus avec les habitants. Nous ne sommes pas surpris du rejet de cette délibération par 28 voix, mais cela signifie qu’au moins 11 conseillers municipaux souhaitaient que les enseignants, les parents d’élèves et le personnel impliqué puissent se réunir, s’écouter voire s’entendre. En ces périodes troublées, n’est-ce pas dans la consultation et la citoyenneté qu’on apaise les esprits et protège les finances publiques ? Parlons-en d’ailleurs, comme les budgets se réduisent d’année en année, il est grand temps de trouver des ressources qui ne soient pas seulement fiscales ou financières. Parmi les ressources naturelles, renouvelables et réutilisables, il en est une bien peu exploitée. Laquelle ? Sans doute la plus simple à mettre en œuvre et qui consiste à faire appel aux Plaisirois pour enrichir les débats. Une mesure bienvenue et qui ne coûte rien : le bon sens, l’expertise et l’expérience ont de la valeur et ils n’amputent pas les finances publiques. Avant de culpabiliser les autres, prenons le temps de se parler car, assurément les Plaisirois et les Plaisiroises ont du talent et savent compter. Le débat public ne se réduit pas à dire les choses quand elles sont faites mais bien à les construire en amont et en harmonie grâce au pouvoir de la participation citoyenne. Espérons que 11 sur 39 ne soit qu’un début.
par Sandrine Carneiro 01 févr., 2024
Depuis 2014, la ville est le théâtre d'une urbanisation effrénée, dénuée de toute stratégie et de vision cohérente . Ce constat alarmant se manifeste à travers plusieurs aspects préoccupants. En premier lieu, le projet de centre-ville est enlisé dans une léthargie inacceptable depuis plus de 10 ans. Annoncé par Mme Le Maire comme un catalyseur de développement local et de soutien aux commerces de proximité, ce projet est à l’arrêt depuis ses déclarations et met en lumière l’incompétence du maire à concrétiser ses projets. De plus, les opérations immobilières de grande envergure se développent de manière anarchique sur l'ensemble du territoire , et soulèvent des questions cruciales quant à leur cohérence. Le maire, véritable virtuose du contournement des règles d'urbanisme, va même jusqu’à donner carte blanche aux promoteurs immobiliers, faisant fi du PLU ! L'absence de vision d'ensemble entraîne une urbanisation chaotique, sacrifiant ainsi la préservation de la qualité de vie des habitants. On peut également s’interroger sur l'opacité qui entoure l'élaboration du futur règlement d'urbanisme avec une pseudo réunion d'information publique fin 2022 et une commission urbanisme qui fait la sieste depuis 2 ans ! Nous aurions aimé des consultations des habitants des quartiers, un vrai débat publique autours des enjeux économiques et sociaux, et une concertation citoyenne réunissant les Plaisirois pour partager leur vision et leur réalité de terrain. Cette obsession de densification n’a aucune logique urbaine et politique lorsque l’on sait que l’explosion de la taxe foncière fait fuir de nombreux plaisirois et que notre ville a perdu en population depuis l’arrivée de Mme Kollmannsberger. Espérons que Plaisir rejoindra un jour le Top 30 des villes où il fait bon vivre dans les Yvelines.
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