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Le compte à rebours est lancé À Plaisir, le réseau cuivre historique, qui permettait jusqu’à présent de faire fonctionner les lignes téléphoniques classiques (RTC) et les connexions ADSL, sera définitivement coupé le 27 janvier 2026. Cette échéance, fixée au niveau national, concerne directement tous les usagers encore dépendants de cette technologie aujourd’hui dépassée. Pourquoi cette fermeture ? Utilisé depuis plus de 50 ans, le réseau cuivre ne permet plus de répondre aux besoins actuels en matière de connexion. Trop lent, peu fiable, et énergivore, il est progressivement remplacé par des technologies plus performantes, au premier rang desquelles la fibre optique, déjà largement déployée dans notre commune. 👉 Cette décision concerne tous les utilisateurs encore connectés via le réseau cuivre : particuliers, associations, entreprises, services publics… Ce qui va changer à partir du 27 janvier 2026 : À cette date, les services suivants ne seront plus disponibles via le réseau cuivre : • Le téléphone fixe classique (branché sur une prise en forme de T, sans box internet), • L’ADSL, principal mode de connexion internet pour ceux qui n’ont pas encore basculé vers la fibre. Comment vous préparer ? Pour anticiper cette transition en douceur, voici les étapes à suivre : 1. Vérifiez votre équipement : utilisez-vous encore une ligne RTC ou une box ADSL ? 2. Contactez votre opérateur (Orange, SFR, Free, Bouygues…) pour connaître les solutions alternatives : fibre, box 4G, etc. 3. Testez votre éligibilité à la fibre à votre adresse : 👉 https://cartefibre.arcep.fr Un enjeu de solidarité locale Cette transition technologique est aussi un défi collectif. Beaucoup de nos aînés ou de personnes isolées utilisent encore des lignes fixes classiques, parfois sans se douter de la fin annoncée du service. Parlez-en autour de vous. Un simple échange avec un voisin, un parent ou une personne que vous accompagnez peut suffire à éviter des coupures brutales de communication. ℹ️ Pour en savoir plus Deux sites officiels proposent des informations claires et actualisées : • Le site du Gouvernement : 🔗 https://www.economie.gouv.fr/treshautdebit/la-fermeture-du-reseau-cuivre-dans-votre-commune • L’ARCEP, l’autorité des télécoms : 🔗 https://www.arcep.fr/nos-sujets/la-fermeture-du-reseau-cuivre.html 👉 À Plaisir, restons informés, solidaires, et connectés à l’avenir !

Lors du conseil municipal du 27 mars 2025, sous l’égide de Mme le Maire, la majorité a validé une diminution de 58 % des dotations du Département destinées aux projets de rénovation urbaine de notre ville. Conçu pour améliorer les conditions de vie des habitants et renforcer la sécurité des quartiers, ce programme est amputé de projets essentiels : suppression d’un espace pour la jeunesse, d’un espace de convivialité pour les familles et réduction drastique du budget d’un pôle éducatif. Dans le même temps, le budget alloué au château a été préservé dans son intégralité, avec près de 10,4 millions d’euros. Comment justifier une telle inégalité dans le traitement des projets en faveur des Plaisirois ? La préservation du patrimoine historique est tout aussi essentielle que l’éducation de nos enfants. Face à cette situation, notre groupe a alerté sur ce désengagement financier du Département, qui entraînera des conséquences budgétaires désastreuses pour la Ville. Plutôt que d’assumer ces choix politiques, certains élus de la majorité ont préféré nous accuser de véhiculer de fausses informations alarmistes. Or, les faits sont là : ce sont bien eux qui tentent de masquer la vérité par tous les moyens, y compris en usant du mensonge. Il est tout aussi frappant de constater que ceux qui dénoncent sans relâche la baisse des dotations de l’État sont les mêmes qui, en tant que vice-présidents du Département, votent unanimement le retrait de ces subventions pourtant cruciales pour la Ville. Nous refusons cette incohérence politique et ces arbitrages budgétaires unilatéraux. Nous appelons à défendre avec équité l’ensemble des projets d’intérêt public, sans favoritisme ni renoncements injustifiés.

« À Plaisir, nous faisons des économies sans nuire à la qualité des services publics » — C’est une déclaration que Mme le Maire martèle à chaque présentation budgétaire. Mais dans les faits, les habitants constatent, eux, une tout autre réalité. Depuis plusieurs années, les Plaisirois assistent, impuissants, à une série de décisions qui fragilisent peu à peu nos services publics. Après la suppression des points écoles, la baisse des subventions allouées aux établissements scolaires, ou encore la disparition d’une journée d’étude hebdomadaire, c’est désormais le fonctionnement des accueils de loisirs qui subit une dégradation préoccupante. 168 places supprimées : un choix de la municipalité Officiellement, la municipalité peine à recruter des animateurs. Pourtant, en septembre 2024, la Ville a elle-même décidé de ne pas renouveler les contrats de quatorze animateurs, entraînant de fait la suppression de 168 places en accueil de loisirs. Aujourd’hui, de nombreuses familles se retrouvent sur liste d’attente, sans solution pour faire garder leurs enfants les mercredis et pendant les vacances. Une situation d’autant plus préoccupante qu’elle aurait pu être évitée. Une fermeture précipitée, une concertation simulée Le 28 mars dernier, les représentants de parents d’élèves des écoles Moulin, Vallès et Wallon reçoivent un courriel les conviant à une réunion... prévue cinq jours plus tard, le 2 avril. Un délai extrêmement court, difficilement conciliable avec les impératifs professionnels des familles. Résultat : seules deux écoles étaient représentées lors de cette rencontre. C’est pourtant à cette occasion que la municipalité a annoncé son intention de fermer le centre de loisirs Moulin les mercredis, à compter de septembre 2025, en regroupant les enfants à l’école Pergaud. Mais, nouveau rebondissement : le 10 avril, les familles reçoivent un nouveau message, leur annonçant que la fermeture serait avancée au 30 avril 2025, soit dès la rentrée des vacances de printemps. Une annonce brutale, qui suscite incompréhension et colère. Pire encore, le message laisse entendre qu’un « consensus » aurait été trouvé avec les représentants des parents... alors que seuls deux représentants étaient présents, et que nombre d’interrogations sont restées sans réponse. Des conséquences lourdes pour les enfants et les familles Ce type de décision, prise dans la précipitation, sans véritable dialogue avec les familles concernées, entraîne de nombreuses difficultés concrètes : • Perte de repères pour les enfants, notamment les plus jeunes, habitués à leur structure, à leurs animateurs, à leur environnement. • Organisation familiale bouleversée, du jour au lendemain. • Qualité d’accueil dégradée sur le site de Pergaud, qui ne dispose pas des infrastructures nécessaires : o Stationnement difficile pour les familles o Espaces de cour et salles insuffisants o Éloignement des lieux propices aux activités sportives ou en plein air Écouter, concerter, respecter Les familles de Plaisir demandent à être considérées et écoutées. Elles attendent des décisions construites dans la concertation, et non imposées dans l’urgence. Elles souhaitent que les choix municipaux soient guidés par l’intérêt des enfants et la qualité du service rendu. Préserver la qualité des services publics, ce n’est pas un luxe. C’est une exigence, un engagement que nous devons à toutes les familles de notre ville.

Hier soir, lors du conseil municipal, nous avons assisté à une véritable farce politique, où la majorité s'est illustrée par des manœuvres aussi contestables qu’inquiétantes. En jeu : la transparence sur les indemnités des élus et la question de leur possible réduction au profit des Plaisirois. Un document public… tenu secret depuis le début du mandat Depuis le début de ce mandat, la Maire refuse de produire un document pourtant obligatoire : la liste des indemnités perçues par les élus de la majorité. Face à ce déni de transparence, notre groupe Plaisir Notre Avenir a été contraint de lui faire un rappel à la loi pour obtenir la transmission de ce document qui relève pourtant du droit d’information des citoyens. Hier, sous la pression, Madame la Maire a finalement cédé à cette obligation… mais avec une mise en scène qui interroge encore davantage. Au lieu de diffuser ce document de manière accessible, elle a imposé aux élus de le consulter sur un coin de table de l’administration, sans possibilité de copie. Pire encore, elle a formellement interdit toute prise de photo, allant jusqu’à menacer d’attaquer en justice quiconque oserait diffuser ou partager ces informations. Une réaction pour le moins excessive, qui pose une question légitime : qu’a-t-elle donc à cacher ? Refus unanime de réduire les indemnités au profit des Plaisirois Lors de ce même conseil municipal, notre groupe a proposé une mesure simple et de bon sens : réduire les indemnités perçues par les seuls élus de la majorité, afin de réaffecter ces fonds à des causes prioritaires pour la ville. Nous avons suggéré que ces économies puissent bénéficier aux associations, aux écoles ou encore aux actions sociales. Mais à l’unanimité, la majorité a rejeté cette proposition, préférant préserver ses acquis plutôt que de faire preuve de solidarité envers les Plaisirois. Le comble ? Arguant d’une impossibilité légale d'intervenir sur ces indemnités (ce qui est faux !), l’adjoint aux finances a révélé que cette enveloppe pourrait servir à racheter des points de retraite pour les élus de la majorité ! Une déclaration qui en dit long sur les priorités de ceux qui dirigent la ville. Comme le dit l’adage : "Charité bien ordonnée commence par soi-même." Malheureusement, cette majorité semble l’avoir bien compris…

La majorité municipale impose un Plan Local d’Urbanisme (PLU) qui répond avant tout à une volonté assumée de densification massive et de bétonisation accélérée. Élaboré sans réelle concertation, ce PLU favorise une urbanisation déséquilibrée, menaçant notre cadre de vie en fragilisant aussi bien l’habitat collectif que pavillonnaire. La stratégie est claire : faire disparaître les hameaux pavillonnaires, véritables poumons de notre commune, au profit de constructions plus denses , génératrices de rentrées fiscales, au mépris des habitants. Pire encore, certaines écoles sont désormais situées en zones devenues constructibles, mettant directement en péril leur avenir. Par ailleurs, l’augmentation de l’emprise au sol du centre commercial Mon Grand Plaisir illustre une politique privilégiant les intérêts privés au détriment des Plaisirois . Cette expansion qui menace directement les commerces de proximité et l’équilibre du centre-ville, repose sur une décision contestable : la transformation du terrain de l’école Gérard Philippe, opportunément fermée il y a quelques mois. Cette majorité entraîne notre ville dans une transformation radicale au mépris de son identité et du bien-être de ses habitants . Son urbanisme destructeur s’accompagne d’une disparition inquiétante des espaces naturels, pourtant essentiels à notre qualité de vie et à l’équilibre écologique de notre territoire. Nous refusons cet urbanisme imposé, déconnecté des attentes des Plaisirois . Ce PLU ne prépare pas l’avenir de Plaisir, il le compromet. Il est urgent de replacer la concertation au cœur des décisions pour bâtir un projet équilibré et respectueux de notre cadre de vie.
La situation budgétaire des collectivités locales devient de plus en plus préoccupante . Dernier exemple en date : la ville d’Épône, qui vient de contracter un prêt relais de 1,5 million d’euros pour financer les travaux de sa maison médicale. En cause ? Un retard dans le versement des subventions promises par le Département des Yvelines . Pourtant, ce projet devait initialement être entièrement pris en charge par cette institution. Une nouvelle qui ne manque pas d’interpeller et qui soulève des inquiétudes quant à la situation à Plaisir. Plaisir dépendante des subventions départementales La maire de Plaisir s'est engagée dans deux projets majeurs, reposant eux aussi sur des financements du Département : 🔹 1,5 million d’euros de subvention attendue pour la maison médicale municipale. 🔹 1 million d’euros pour la rénovation du château. Cependant, à l’image de ce qui se passe à Épône, une question se pose : que se passera-t-il si ces subventions ne sont pas versées ou si elles sont retardées ? Un emprunt inévitable ? Si le Département venait à se désengager ou à différer ces aides, la municipalité de Plaisir serait-elle contrainte de recourir à un emprunt pour compenser le manque à gagner ? Une telle décision aurait des conséquences directes sur les finances communales et, à terme, sur les impôts locaux des Plaisirois. Dans un contexte national de restrictions budgétaires, la prudence devrait être de mise à l'image de nombreuses collectivités qui ont d'ores et déjà annoncer renoncer à bon nombre de dépenses d'investissements. Bien que nous ayons voté en faveur de ces projets, nous devons rester vigilants afin d’éviter toute surcharge financière pour les habitants de Plaisir. Des dépenses supplémentaires aujourd’hui, des impôts en plus demain ? Si la situation budgétaire du Département continue à se dégrader et que les subventions promises ne sont pas versées dans les délais prévus, la mairie pourrait être confrontée à un dilemme : contracter un nouvel emprunt ou revoir à la baisse ses ambitions. Dans tous les cas, ce sont les finances des Plaisirois qui sont en jeu. Nous appelons donc la municipalité à la transparence sur l’état d’avancement des subventions attendues et à prévoir dès à présent des alternatives pour éviter que la ville ne se retrouve dans une impasse financière. Plaisir peut-elle vraiment se permettre de prendre un tel risque avec l’argent des contribuables ?
Mercredi 5 février 2025, le futur Plan Local d'Urbanisme (PLU) de Plaisir a été soumis au vote en conseil municipal . Ce dossier de près de 1 800 pages , aux implications majeures pour l'avenir de la ville, suscite de nombreuses interrogations et inquiétudes quant à la vision qu'il porte pour le territoire. Un centre-ville toujours en attente de dynamisation Depuis 13 ans, la municipalité promet un projet de réaménagement du centre-ville incluant la construction de 80 à 100 logements . Or, même si nous saluons le travail remarquable de notre manager de ville auprès des commerçants ces dernières années, aucun projet d’aménagement urbain pour la redynamisation du centre-ville n’a vu le jour. Par ailleurs, si les commerces de proximité sont essentiels à la vie de quartier, leur présence semble conditionnée à des critères non explicités dans le PLU, contrairement aux pratiques des communes voisines. De plus, aucun engagement clair n'est pris quant à leur intégration dans les futurs projets immobiliers du centre-ville. Les zones pavillonnaires menacées Le PLU propose de réduire la distance minimale entre maisons individuelles de 5 à 4 mètres , une mesure inacceptable, bien en deçà des standards d'autres communes du département, où cette distance est généralement fixée à 8 mètres . Cette densification excessive pose des questions sur la qualité de vie des habitants, notamment en termes d'intimité et de cadre de vie. Le hameau pavillonnaire de Sainte-Apolline , quant à lui, sera désormais encerclé par une zone d'activité autorisant des bâtiments industriels de 16 mètres de hauteur . De plus, le placement de ce quartier sous droit de préemption urbain renforcé suscite des interrogations : la municipalité cherche-t-elle à inciter ses habitants à partir ? Augmentation de l'emprise au sol sur l’ensemble de la ville Dans plusieurs quartiers déjà fortement urbanisés (Résidences Abel Guyet, Danielle, Ebisoires, Valibout, Petit Bontemps), l'emprise au sol a été augmentée de 40 % à 60 % . Cela signifie-t-il que de nouveaux immeubles seront construits au milieu des bâtiments existants ? Envisage-t-on de démolir des logements actuels pour en reconstruire d'autres ? Pourquoi appliquer cette hausse d'emprise au sol dans des quartiers déjà fortement urbanisés ? On est en droit de s’interroger. L’agrandissement du centre commercial Mon Grand Plaisir Parallèlement, l'emprise au sol du centre commercial Mon Grand Plaisir passe de 70 % à 80 % , laissant craindre une nouvelle extension d'un mastondonte commercial déjà responsable de la saturation du trafic et d'une forte dégradation de la qualité de vie des habitants du quartier de l’Acqueduc. Cette crainte semble être justifiée car d’après les éléments en notre possession, une étude d’impact aurait été lancée par un cabinet d’expertise en vue d'un projet d'extension du centre commercial pour une superficie de 1700 m² de surface de vente, soit une superficie totale d’environ 2800 m². L'avenir incertain du groupe scolaire de la Haise Lors du conseil municipal du 28 juin 2023, nous avions déjà interpellé le maire sur un point qui demeure sans réponse : l’intégration du groupe scolaire de la Haise dans une zone soumise à une taxe d’aménagement majorée. Cette taxe étant perçue lors de l’obtention d’un permis de construire, cela laisse supposer que la municipalité envisage d’autoriser de nouveaux projets immobiliers sur cette parcelle. Or, l’actuelle configuration des lieux – comprenant deux écoles maternelles, deux écoles élémentaires, une cantine scolaire, l’accueil de loisirs Les Petits Bouts et le gymnase Léo Lagrange – limite fortement toute possibilité de construction supplémentaire. Une question se pose alors avec acuité : la mairie projette-t-elle, à terme, la suppression de ce groupe scolaire ? Interrogée à deux reprises sur ce sujet, la maire a, jusqu’à présent, refusé de nous apporter la moindre réponse. Une absence d'information sur les nouvelles contraintes pour les propriétaires De nombreuses habitations sont désormais soumises à des règles strictes en matière de patrimoine bâti, naturel et urbain, limitant fortement leur modification et interdisant parfois leur démolition . Ces nouvelles dispositions auront un impact significatif sur la valeur des biens concernés, tout en imposant des contraintes techniques et financières lourdes pour leur réhabilitation. Si la préservation du patrimoine est essentielle, nous déplorons que les propriétaires impactés par ces nouvelles règles n’aient pas été informés. D'autre part, le guide des couleurs et matériaux du Parc Naturel Régional de la Haute Vallée de Chevreuse a été intégré aux documents d'urbanisme, alors que Plaisir ne fait pas partie de ce territoire. Cette charte s'imposera-t-elle à toutes les nouvelles constructions, y compris aux bâtiments municipaux ? Une absence de concertation réelle Alors que la révision du PLU est en cours depuis trois ans, la commission d'urbanisme n'a été convoquée que deux jours avant le conseil municipal, laissant peu de place à l'analyse du dossier de PLU de 1800 pages et au débat . Cet agenda resserré semble davantage destiné à limiter la réflexion des élus d'opposition qu'à encourager une discussion démocratique. La majorité nous reproche régulièrement de ne pas être constructifs, de ne pas soumettre des propositions. En réalité, la majorité municipale nous empêche de l’être en nous tenant systématiquement à l’écart des décisions . Les commissions sont censées permettre un dialogue démocratique, mais elles sont utilisées comme une simple formalité pour cautionner leurs décisions, sans réelle volonté d’échange. Plusieurs orientations contestables Malgré les réunions de concertation annoncées par la majorité, ce PLU présente plusieurs orientations contestables : • La disparition a court terme de 23 hectares d’espaces naturels • La construction de 2 000 logements d’ici 5 ans • La densification excessive des quartiers existants, • La réduction importante des distances entre habitations, • La disparition de certains hameaux pavillonnaires, • Le risque d'extension du centre commercial Mon Grand Plaisir, • L’absence d’une politique forte pour les commerces de proximité en centre-ville, • La menace de fermeture du groupe scolaire de la Haise En imposant un PLU aux impacts si lourds sans véritable concertation, la municipalité semble préférer une urbanisation contraignante plutôt qu'un projet partagé avec les Plaisirois. Cette approche, déconnectée des attentes des habitants, ne prend pas en compte la préservation de leur qualité de vie. Nous pensons qu’un urbanisme équilibré et respectueux est possible à Plaisir : ✅ Sanctuariser les 26 hectares d’espaces verts menacés ✅ Créer de nouvelles zones de respiration avec des parcs et des corridors écologiques ✅ Intégrer des normes environnementales exigeantes dans chaque projet ✅ Limiter la densification excessive pour préserver la qualité de vie ✅ Maintenir des distances minimales entre habitations conformes aux villes voisines ✅ Mettre en place un plan de dynamisation du commerce local ✅ Stopper l’extension du centre commercial Mon Grand Plaisir au détriment des petits commerçants ✅ Garantir le maintien du groupe scolaire de la Haise ✅ Anticiper les besoins en équipements publics avant tout nouveau programme immobilier ✅ Relancer les projets de centre-ville et d’écoquartier avec une vraie concertation citoyenne ✅ Associer les Plaisirois aux décisions qui engagent l’avenir de leur ville Il est temps de construire une ville qui allie développement et qualité de vie, plutôt que de subir des choix imposés sans dialogue. Face à cette absence de transparence et de débat, notre groupe a décidé de s'abstenir lors du vote de cette délibération.
À Plaisir, l’augmentation récente de 27% de la taxe foncière pèse chaque année lourdement sur les habitants , et ce sont les seniors qui en subissent le plus les conséquences. Ces propriétaires souvent retraités, disposent de revenus fixes qui n’évoluent pas au même rythme que les charges. Ainsi, la hausse de la taxe foncière s’ajoute à une série d’autres augmentations : énergie, alimentation, assurances. Chaque euro compte et ces dépenses incompressibles grignotent leur pouvoir d’achat. Résultat : certains séniors doivent revoir leur budget , renoncer à des loisirs ou même différer des travaux indispensables à l’entretien de leur logement. Au-delà de l’aspect financier, c’est une question de justice sociale . Ces ménages ont souvent passé leur vie à contribuer à l’essor de notre ville et méritent de vivre leur retraite avec sérénité. Pourtant, cette hausse décidée unilatéralement par la majorité municipale frappe sans distinction, ignorant la réalité d’un patrimoine souvent modeste, acquis au prix de sacrifices. Une ville a le pouvoir d’alléger la charge financière de ses habitants en maîtrisant ses dépenses et en évitant de recourir à des augmentations excessives de la taxe foncière . C’est pourquoi, il est urgent que la municipalité entende cet appel. Une réelle réflexion sur l’équité fiscale est nécessaire pour éviter que ces hausses ne fragilisent davantage nos aînés. Renforcer le lien intergénérationnel ne se limite pas à des gestes symboliques, comme partager une galette annuelle à des fins électoralistes : c'est avant tout veiller à protéger nos seniors contre des charges injustes. Quand adopterons-nous une fiscalité plus équitable ?
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